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06 fevrier 2008

TORONTO, ONT. (le 6 février 2008) – L’actif de la caisse du Régime de pensions du Canada (RPC) se chiffrait à 119,4 milliards de dollars à la fin du troisième trimestre terminé le 31 décembre 2007, contre 121,3 milliards à la fin du trimestre précédent. 

Les difficultés qu’ont connues les marchés au cours du trimestre ont engendré un rendement légèrement négatif de -0,14 pour cent pour la caisse. En raison des mouvements de trésorerie saisonniers du RPC, le trimestre a aussi été marqué par une sortie de fonds de 1,7 milliard de dollars consacrée au versement de prestations. Au cours du premier semestre de l’année civile, les cotisations perçues excèdent bien souvent le montant des prestations versées par le RPC. Une partie de cet argent sert au versement des prestations dues au dernier trimestre de l’année. Il en résulte chaque année une entrée nette de capitaux. 

La croissance de 2,8 milliards de dollars pour les neufs premiers mois de l’exercice est attribuable aux 2,2 milliards de dollars en cotisations ne servant pas au paiement des prestations courantes et aux revenus de placement de 0,6 milliard, soit un taux de rendement de 0,54 pour cent. 

En raison de son horizon de placement à long terme, l’Office accorde plus d’importance au rendement des placements sur une période de quatre ans. Pour la période de quatre ans terminée le 31 décembre 2007, le revenu de placement de la caisse du RPC se chiffre à 35,4 milliards de dollars, ce qui représente un rendement annualisé de 10,1 pour cent. 

« Les résultats de la caisse du RPC pour le trimestre témoignent de la volatilité des marchés, volatilité qui s’intensifie en ce début de 2008, explique M. David Denison, président et chef de la direction de l’Office d’investissement du RPC. Avec son horizon de placement à très long terme, l’Office s’attend à devoir affronter périodiquement de telles périodes de turbulence, et il y est préparé. Comme l’Office investit pour des décennies et plusieurs générations, ces fluctuations à court terme ne sont pas incompatibles avec ses paramètres de risque. » 

Au 31 décembre 2007, les actions constituaient 63,5 pour cent de la valeur de la caisse, soit 75,8 milliards de dollars. De ce montant, les actions de sociétés ouvertes représentaient 64,4 milliards de dollars, ou 54,0 pour cent, et les actions de sociétés fermées, 11,4 milliards de dollars, ou 9,5 pour cent. Les placements à revenu fixe de valeur nominale, qui incluent les obligations et les titres du marché monétaire, représentent 25,6 pour cent du portefeuille, soit 30,6 milliards de dollars. Les placements sensibles à l’inflation s’élevaient à 13,0 milliards de dollars, soit 10,9 pour cent, répartis comme suit : 5,4 pour cent, ou 6,5 milliards de dollars, en placements immobiliers, 3,3 pour cent, ou 3,9 milliards de dollars, en obligations indexées sur l’inflation et 2,2 pour cent, ou 2,6 milliards de dollars, en infrastructures. 

L’actuaire en chef du Canada estime que les cotisations au RPC seront supérieures aux prestations versées jusqu’à la fin de 2019, ce qui laisse un délai de 12 ans avant que l’on ait besoin d’une partie du revenu de placement pour financer les prestations du RPC. Il prévoit également que la valeur de la caisse du RPC s’élèvera à environ 250 milliards de dollars d’ici 2016, ce qui en fait l’un des réservoirs de capital d’investissement à but unique les plus importants au monde et qui contribue à la pérennité du RPC à long terme.

L’Office d’investissement du RPC 
L’Office place, pour le compte de 17 millions de cotisants et de bénéficiaires canadiens, les fonds dont le Régime de pensions du Canada (RPC) n’a pas besoin pour verser les prestations de retraite courantes. Afin de diversifier le portefeuille du RPC, l’Office investit dans des actions de sociétés cotées en bourse, des actions de sociétés fermées, des biens immobiliers, des obligations indexées sur l’inflation, des infrastructures et des titres à revenu fixe. L’Office est responsable devant le Parlement du Canada et les ministres des Finances fédéral et provinciaux. Son siège social se trouve à Toronto, et sa gouvernance et sa gestion sont distinctes de celles du Régime de pensions du Canada. L’Office n’a pas de lien de dépendance avec les gouvernements. Pour obtenir de plus amples renseignements sur l’Office, consultez le site www.oirpc.ca. 

Joel Kranc 
Directeur des communications 
416 874-5163 
jkranc@cppib.ca

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06 fevrier 2008 TORONTO, ONT. (le 6 février 2008) – L’actif de la caisse du Régime de pensions du Canada (RPC) se chiffrait à 119,4 milliards de dollars à la fin du troisième trimestre terminé le 31 décembre 2007, contre 121,3 milliards à la fin du trimestre précédent. 

Les difficultés qu’ont connues les marchés au cours du trimestre ont engendré un rendement légèrement négatif de -0,14 pour cent pour la caisse. En raison des mouvements de trésorerie saisonniers du RPC, le trimestre a aussi été marqué par une sortie de fonds de 1,7 milliard de dollars consacrée au versement de prestations. Au cours du premier semestre de l’année civile, les cotisations perçues excèdent bien souvent le montant des prestations versées par le RPC. Une partie de cet argent sert au versement des prestations dues au dernier trimestre de l’année. Il en résulte chaque année une entrée nette de capitaux. 

La croissance de 2,8 milliards de dollars pour les neufs premiers mois de l’exercice est attribuable aux 2,2 milliards de dollars en cotisations ne servant pas au paiement des prestations courantes et aux revenus de placement de 0,6 milliard, soit un taux de rendement de 0,54 pour cent. 

En raison de son horizon de placement à long terme, l’Office accorde plus d’importance au rendement des placements sur une période de quatre ans. Pour la période de quatre ans terminée le 31 décembre 2007, le revenu de placement de la caisse du RPC se chiffre à 35,4 milliards de dollars, ce qui représente un rendement annualisé de 10,1 pour cent. 

« Les résultats de la caisse du RPC pour le trimestre témoignent de la volatilité des marchés, volatilité qui s’intensifie en ce début de 2008, explique M. David Denison, président et chef de la direction de l’Office d’investissement du RPC. Avec son horizon de placement à très long terme, l’Office s’attend à devoir affronter périodiquement de telles périodes de turbulence, et il y est préparé. Comme l’Office investit pour des décennies et plusieurs générations, ces fluctuations à court terme ne sont pas incompatibles avec ses paramètres de risque. » 

Au 31 décembre 2007, les actions constituaient 63,5 pour cent de la valeur de la caisse, soit 75,8 milliards de dollars. De ce montant, les actions de sociétés ouvertes représentaient 64,4 milliards de dollars, ou 54,0 pour cent, et les actions de sociétés fermées, 11,4 milliards de dollars, ou 9,5 pour cent. Les placements à revenu fixe de valeur nominale, qui incluent les obligations et les titres du marché monétaire, représentent 25,6 pour cent du portefeuille, soit 30,6 milliards de dollars. Les placements sensibles à l’inflation s’élevaient à 13,0 milliards de dollars, soit 10,9 pour cent, répartis comme suit : 5,4 pour cent, ou 6,5 milliards de dollars, en placements immobiliers, 3,3 pour cent, ou 3,9 milliards de dollars, en obligations indexées sur l’inflation et 2,2 pour cent, ou 2,6 milliards de dollars, en infrastructures. 

L’actuaire en chef du Canada estime que les cotisations au RPC seront supérieures aux prestations versées jusqu’à la fin de 2019, ce qui laisse un délai de 12 ans avant que l’on ait besoin d’une partie du revenu de placement pour financer les prestations du RPC. Il prévoit également que la valeur de la caisse du RPC s’élèvera à environ 250 milliards de dollars d’ici 2016, ce qui en fait l’un des réservoirs de capital d’investissement à but unique les plus importants au monde et qui contribue à la pérennité du RPC à long terme. L’Office d’investissement du RPC 
L’Office place, pour le compte de 17 millions de cotisants et de bénéficiaires canadiens, les fonds dont le Régime de pensions du Canada (RPC) n’a pas besoin pour verser les prestations de retraite courantes. Afin de diversifier le portefeuille du RPC, l’Office investit dans des actions de sociétés cotées en bourse, des actions de sociétés fermées, des biens immobiliers, des obligations indexées sur l’inflation, des infrastructures et des titres à revenu fixe. L’Office est responsable devant le Parlement du Canada et les ministres des Finances fédéral et provinciaux. Son siège social se trouve à Toronto, et sa gouvernance et sa gestion sont distinctes de celles du Régime de pensions du Canada. L’Office n’a pas de lien de dépendance avec les gouvernements. Pour obtenir de plus amples renseignements sur l’Office, consultez le site www.oirpc.ca. 

Joel Kranc 
Directeur des communications 
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