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Financement du RPC de base et du RPC supplémentaire

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Les gouvernements fédéral et provinciaux ont décidé en 2016 d’élargir le Régime de pensions du Canada (RPC) afin d’offrir de futures prestations bonifiées aux travailleurs. Les cotisations accrues et les prestations connexes sont associées au RPC supplémentaire, tandis que les cotisations traditionnelles et les prestations connexes se rapportent au RPC de base. Cela implique que dans les prochaines décennies, les prestations du RPC versées durant la retraite pourraient couvrir environ le tiers du revenu d’une personne par rapport au niveau actuel, soit environ le quart, et ce, jusqu’à concurrence d’un certain plafond.

Investissements RPC a reçu les premières cotisations au RPC supplémentaire en janvier 2019. Par conséquent, il existe maintenant deux comptes : un pour le RPC de base et l’autre pour les cotisations au RPC supplémentaire. Les deux comptes tireront pleinement parti du réseau mondial, du savoir-faire, des stratégies de placement et du cadre de gouvernance du risque d’Investissements RPC. Notre stratégie consiste à bâtir une seule caisse résiliente visant un rendement solide pour les deux comptes ainsi qu’à maintenir l’équité entre ceux-ci.

Le RPC supplémentaire et le RPC de base dépendent de l’importance du revenu de placement par rapport aux revenus totaux du programme au fil du temps.

Le RPC supplémentaire doit être un régime de retraite « entièrement capitalisé ». Par conséquent, les actifs sont ciblés de manière à ce que leur valeur soit égale ou supérieure à la valeur actualisée des prestations. Cette valeur englobe les sommes versées aux retraités ainsi que les prestations que les cotisants ont reçues jusqu’à maintenant. À terme, les revenus de placement devraient représenter environ 70 % des revenus totaux du RPC supplémentaire (soit les revenus de placement et les cotisations).

Par conséquent, un régime entièrement capitalisé est directement touché par les facteurs suivants :

  • toute variation du taux de rendement prévu des placements;
  • tout écart entre les rendements obtenus et les rendements attendus.

Le RPC de base est un régime « partiellement capitalisé ». Pour que le taux de cotisation reste stable, l’actuaire en chef estime que le revenu tiré des placements représentera environ 40 % des revenus totaux du RPC de base lorsqu’il sera arrivé à maturité.

Le RPC de base est sensible à des facteurs démographiques comme l’espérance de vie, le taux de natalité et le taux d’immigration. Il peut aussi être touché par des changements de nature économique, dont le niveau d’emploi et le taux de croissance des salaires réels (compte tenu de l’inflation).

Qui plus est, un régime partiellement capitalisé est moins sensible aux rendements de placements qu’un régime entièrement capitalisé.

Taux de cotisation

Tant pour le RPC de base que pour le RPC supplémentaire, les cotisations sont suffisamment élevées pour que, selon nos prévisions, les placements actuels et les cotisations futures couvrent entièrement toutes les prestations aujourd’hui et à l’avenir. Par ailleurs, nous tentons de maintenir un taux de cotisation stable pour les cotisants actuels et futurs.

Le 30e Rapport actuariel du Régime de pensions du Canada, qui s’appuie sur la situation de la caisse au 31 décembre 2018, présente des hypothèses de rendement de placements pour la période de 75 ans commençant en 2018 :

  • le compte du RPC de base affichera un taux de rendement réel annuel moyen de 3,95 %;
  • le compte du RPC supplémentaire, dont la stratégie de placement est plus prudente, générera pour sa part un taux de rendement réel annuel moyen de 3,38 %.

Ces deux taux de rendement prévus sont supérieurs au taux d’inflation des prix à la consommation au Canada, après déduction de tous les coûts de placement.

Les gouvernements fédéral et provinciaux ont décidé en 2016 d’élargir le Régime de pensions du Canada (RPC) afin d’offrir de futures prestations bonifiées aux travailleurs. Les cotisations accrues et les prestations connexes sont associées au RPC supplémentaire, tandis que les cotisations traditionnelles et les prestations connexes se rapportent au RPC de base. Cela implique que dans les prochaines décennies, les prestations du RPC versées durant la retraite pourraient couvrir environ le tiers du revenu d’une personne par rapport au niveau actuel, soit environ le quart, et ce, jusqu’à concurrence d’un certain plafond. Investissements RPC a reçu les premières cotisations au RPC supplémentaire en janvier 2019. Par conséquent, il existe maintenant deux comptes : un pour le RPC de base et l’autre pour les cotisations au RPC supplémentaire. Les deux comptes tireront pleinement parti du réseau mondial, du savoir-faire, des stratégies de placement et du cadre de gouvernance du risque d’Investissements RPC. Notre stratégie consiste à bâtir une seule caisse résiliente visant un rendement solide pour les deux comptes ainsi qu’à maintenir l’équité entre ceux-ci. Le RPC supplémentaire et le RPC de base dépendent de l’importance du revenu de placement par rapport aux revenus totaux du programme au fil du temps. Le RPC supplémentaire doit être un régime de retraite « entièrement capitalisé ». Par conséquent, les actifs sont ciblés de manière à ce que leur valeur soit égale ou supérieure à la valeur actualisée des prestations. Cette valeur englobe les sommes versées aux retraités ainsi que les prestations que les cotisants ont reçues jusqu’à maintenant. À terme, les revenus de placement devraient représenter environ 70 % des revenus totaux du RPC supplémentaire (soit les revenus de placement et les cotisations). Par conséquent, un régime entièrement capitalisé est directement touché par les facteurs suivants : toute variation du taux de rendement prévu des placements; tout écart entre les rendements obtenus et les rendements attendus. Le RPC de base est un régime « partiellement capitalisé ». Pour que le taux de cotisation reste stable, l’actuaire en chef estime que le revenu tiré des placements représentera environ 40 % des revenus totaux du RPC de base lorsqu’il sera arrivé à maturité. Le RPC de base est sensible à des facteurs démographiques comme l’espérance de vie, le taux de natalité et le taux d’immigration. Il peut aussi être touché par des changements de nature économique, dont le niveau d’emploi et le taux de croissance des salaires réels (compte tenu de l’inflation). Qui plus est, un régime partiellement capitalisé est moins sensible aux rendements de placements qu’un régime entièrement capitalisé. Taux de cotisation Tant pour le RPC de base que pour le RPC supplémentaire, les cotisations sont suffisamment élevées pour que, selon nos prévisions, les placements actuels et les cotisations futures couvrent entièrement toutes les prestations aujourd’hui et à l’avenir. Par ailleurs, nous tentons de maintenir un taux de cotisation stable pour les cotisants actuels et futurs. Le 30e Rapport actuariel du Régime de pensions du Canada, qui s’appuie sur la situation de la caisse au 31 décembre 2018, présente des hypothèses de rendement de placements pour la période de 75 ans commençant en 2018 : le compte du RPC de base affichera un taux de rendement réel annuel moyen de 3,95 %; le compte du RPC supplémentaire, dont la stratégie de placement est plus prudente, générera pour sa part un taux de rendement réel annuel moyen de 3,38 %. Ces deux taux de rendement prévus sont supérieurs au taux d’inflation des prix à la consommation au Canada, après déduction de tous les coûts de placement.
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