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Les principaux points à retenir de la semaine du climat pour les investisseurs

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Bien qu’il soit facile d’être découragés devant l’absence récente de progrès en matière de changements climatiques, il est beaucoup plus difficile de s’entendre sur des solutions concrètes. Climate Week NYC a été l’occasion pour les leaders de se réunir pour trouver la meilleure voie à suivre. Investissements RPC était là pour aider en partageant son expérience en tant qu’investisseur mondial cherchant à décarboniser son propre portefeuille tout en maximisant les rendements.

Avec des placements dans 55 pays, nous savons qu’il est utile de communiquer avec des dirigeants et des leaders d’opinion pour discuter des défis et des occasions liés aux conventions du marché et aux changements climatiques. C’est pourquoi nous avons envoyé notre propre délégation à la semaine du climat, un événement d’une semaine qui se tient à Manhattan et qui coïncide avec l’Assemblée générale des Nations Unies. Notre équipe était composée de :

  • Richard Manley, chef du développement durable
  • Samantha Hill, directrice générale, chef, Intégration du développement durable
  • Jason MacNeill, directeur général, bureau du CSO
  • Limin Yang, directeur général, Risque de placement
  • Vanessa Ji, première directrice, Risque de placement

Voici quelques-uns des points de vue qu’ils ont partagés.

Une expérience qui fait réfléchir

Nous savions que la transition de l’ensemble de l’économie vers l’objectif de zéro émission nette de gaz à effet de serre d’ici 2050 serait compliquée, mais le principal point à retenir est que les politiciens et les participants des marchés ne saisissent que maintenant l’ampleur et l’importance de ce qui est nécessaire pour l’atteindre, selon nos professionnels des placements. Après des années de dialogue sur la façon de s’attaquer à ce problème, il est devenu évident pour tous que ce ne sera pas facile, comme l’explique notre CSO.

« La plupart des gens comprennent que nous ne pouvons pas diverger de notre voie vers zéro émission nette », a déclaré M. Manley. « Les leviers qu’ils croyaient avoir pour décarboniser ne sont pas là. Nous devons investir dans de nouvelles mines, de nouvelles fonderies, de nouvelles machines et de nouvelles usines, et nous devons former les gens qui construiront et installeront cette capacité. Nous devons mobiliser le système financier pour qu’il investisse dans la transition, mais il n’existe pas de solutions rapides aux goulots d’étranglement institutionnels auxquels nous faisons actuellement face. Lorsque les gens s’entendront à ce sujet, nous pourrons amorcer les conversations difficiles nécessaires pour tracer des voies viables vers l’avant. »

Ce qui rend ce problème particulièrement difficile, c’est qu’il exige que tout le monde aille dans la même direction, souligne Mme Hill.

« Il y a de la frustration et de la déception à voir que nous ne sommes pas plus avancés », a-t-elle déclaré. « Mais si ça ne semble pas difficile, vous n’allez probablement pas dans la bonne direction. Il n’y a pas de réponse facile, ici. »

Des difficultés importantes

Bien que la plupart des gens s’entendent pour dire que nous devons lutter contre les changements climatiques, il n’y a pas de consensus sur la façon de le faire. Compte tenu de l’ampleur des nouveaux investissements nécessaires, nos professionnels des placements affirment que le coût est l’un des principaux obstacles et que, comme certains de ces projets sont massifs, il y a de la résistance.

Toutefois, nous avons besoin de nouvelles infrastructures pour améliorer les chaînes d’approvisionnement, ainsi que du soutien financier pour les soutenir, selon notre CSO. À l’heure actuelle, la capacité n’est pas suffisante pour répondre à la demande d’investissements dans les énergies renouvelables ou pour les relier au réseau électrique.

« Nous nous retrouvons aujourd’hui avec un problème de chaîne d’approvisionnement pour lequel il n’y a pas de solution facile », a affirmé M. Manley. « Le coût de la compensation de ces efforts façonne clairement le soutien de la société à la transition. »

Les facteurs ESG sont également devenus un enjeu partisan aux États-Unis. Plus de 25 États ont adopté ou envisagent d’adopter des lois pour influencer la façon dont certains gestionnaires d’actifs peuvent utiliser les facteurs ESG dans leurs décisions de placement, selon notre équipe Risque de placement. « La politisation des facteurs ESG peut rendre les choses vraiment difficiles », dit M. Yang.

Établissement des normes

Nous suivons cette voie vers zéro émission nette parce que nous sommes convaincus qu’elle est conforme à notre mandat de nous aider à maximiser les rendements. Nous croyons que la décarbonisation se traduira par des rendements des placements plus élevés pour les sociétés adaptables et résilientes.

À Investissements RPC, nous croyons que les sociétés qui sont les mieux placées pour gérer les risques et les occasions liés aux changements climatiques seront les grandes gagnantes dans un monde à zéro émission nette. Nous sommes d’avis que ceux qui tirent de l’arrière sur le plan climatique peuvent devenir des chefs de file en matière de climat s’ils disposent des bons outils et des ressources appropriées, ce qui pourrait se traduire par d’importantes occasions pour les capitaux axés sur le long terme. Pour nous, tout commence par le bon plan et les bonnes normes.

Nos professionnels des placements affirment qu’il existe trop de cadres différents pour la divulgation de l’information sur le climat, ce qui entraîne une fragmentation. Il est donc difficile – et potentiellement coûteux – pour les sociétés de divulguer l’information dont les investisseurs ont besoin pour chiffrer le prix du risque climatique. C’est pourquoi nous sommes convaincus de l’importance pour les sociétés d’adopter le nouveau cadre de divulgation de l’International Sustainability Standards Board (ISSB).

« Les normes de l’ISSB sont cruciales pour nous », a fait remarquer M. Yang. « Les gens veulent un plan, mais ils veulent aussi de la clarté et de la stabilité. C’est pourquoi il est important de fournir des directives claires et des normes uniformes. Cela facilite grandement notre travail et celui des conseils d’administration. »

Selon l’ISSB, le nouveau cadre contribuera à améliorer la confiance à l’égard des déclarations des sociétés sur la durabilité. Cela encouragera un plus grand nombre de sociétés à examiner et à gérer étroitement leurs propres activités qui pourraient avoir une incidence sur la création de valeur à long terme et leur donnera à toutes une base mondiale à suivre.

« Nous demeurons d’avis que l’adoption de ces normes est fondamentale et qu’elle doit avoir lieu », a déclaré M. Manley, qui préside le groupe conseil des investisseurs de l’ISSB. « Nous constatons que les conseils d’administration et les directions estiment que la décarbonisation est avantageuse pour leurs clients et qu’ils recherchent ces occasions. Mais plusieurs ne disent toujours pas comment ils procéderont à la décarbonisation au-delà de ces victoires rapides. Nous faisons part de nos attentes aux sociétés et nous leur laissons le soin de trouver les meilleures façons de décarboniser leurs activités. »

Un espoir à l’horizon

La lutte contre les changements climatiques peut sembler insurmontable, mais la semaine du climat offre des raisons d’être optimiste. Nos professionnels des placements affirment que les gouvernements et les sociétés s’engagent réellement à trouver de vraies solutions parce qu’il s’agit d’une question d’une telle importance qu’elle nous touche tous.

« La bonne nouvelle est que nous ne fuyons pas le problème », a déclaré Mme Hill. « Les gens ont investi dans ce domaine, ils comprennent maintenant à quel point c’est difficile et ils sont prêts à utiliser les outils dont ils disposent pour régler la situation. »

La technologie et l’innovation sont en première ligne dans cette lutte. Le captage et le stockage du carbone, l’énergie renouvelable et les effets potentiels de la géo-ingénierie et de l’intelligence artificielle pourraient modifier considérablement les perspectives d’adaptation aux changements climatiques. Selon notre délégation, cela crée des occasions pour les investisseurs comme nous afin d’aider dans la transition.

De plus, notre délégation a été encouragée par l’importance accrue accordée à la biodiversité en raison de son incidence sur la transition et les risques physiques associés aux changements climatiques. Cette approche offre une vue globale des changements climatiques, qui tient compte de l’incidence de la transition vers un monde sobre en carbone sur le marché, la réglementation, la technologie et la réputation, ainsi que de l’incidence des événements météorologiques extrêmes, de la hausse du niveau de la mer et de l’augmentation graduelle des températures moyennes.

Dans le domaine de la biodiversité, il existe un dynamisme parmi les groupes qui cherchent à monnayer les moyens de protéger la planète. Les participants à un événement ont montré comment il est possible de protéger au moins 50 systèmes coralliens dans nos océans.

« Nous ne pouvons pas tout protéger immédiatement, mais nous pouvons protéger beaucoup de choses », a déclaré M. MacNeill. « Nous devons nous satisfaire du “bien” – nous n’avons pas besoin de la perfection. Cela permettra aux gens d’essayer de nouvelles choses. »

Heureusement, il y a des signes de progrès. L’adoption récente de la loi américaine sur la réduction de l’inflation (IRA) est un accord historique sur le climat qui prévoit des investissements de près de 400 milliards de dollars américains dans des projets d’énergie renouvelable pour réduire les émissions de carbone. Il s’agit du plus important investissement du genre et d’un exemple à suivre pour les autres pays, selon nos professionnels des placements.

« L’IRA a une incidence réelle, mais nous devons en faire plus », a déclaré M. Yang. « Les pays doivent s’assurer que les entreprises peuvent prendre des mesures concrètes. Il ne s’agit pas de se départir de titres, mais de s’engager auprès des sociétés pour les aider à réduire leurs émissions. Les gens attendent toujours des directives pour s’attaquer aux problèmes climatiques, mais nous ne pouvons plus attendre. »

Ouvrir la voie

L’un des temps forts de la semaine du climat a été la présentation du document Principles for Net-Zero Financing & Investment (en anglais seulement) du département du Trésor des États-Unis, qui oriente les institutions financières sur la voie vers la carboneutralité. Selon notre CSO, il s’agit d’un feu vert donné par les États-Unis aux investissements verts, que nous recommandons.

La secrétaire du Trésor américain, Janet Yellen, a également mentionné les occasions mondiales de placement estimées à 3 000 milliards de dollars américains, qui se présenteront chaque année d’ici 2050, qui ne feront que stimuler le développement d’innovations.

« Nous avons des conversations plus enrichissantes. Tout le monde cherche à trouver de vraies solutions, pas des remèdes miracles », a souligné M. Manley. « Nous estimons que nous devons investir pour atteindre la carboneutralité, et non désinvestir pour tracer la voie. Certaines sociétés de l’économie réelle veulent se décarboniser rapidement. Pour ceux qui tirent de l’arrière, nous devons souligner l’urgence de prescrire une stratégie, mais nous pouvons guider les sociétés en articulant nos attentes et en les renforçant avec nos droits de gouvernance. »

À Investissements RPC, nous avons toujours su que la transition économique serait difficile. Les changements climatiques représentent le plus grand défi de notre vie. Il n’y a pas de temps à perdre, surtout pour les investisseurs institutionnels comme nous.

« Il s’agit d’un défi multilatéral et interdisciplinaire à relever, et nous manquons de temps pour le relever », déclare Mme Hill. « C’est un problème d’affaires tout autant qu’une occasion d’affaires. Nous sommes ici pour travailler d’arrache-pied et nous sommes très bien placés pour le faire. »

Participants

Richard Manley

Richard Manley

Chef du développement durable

Samantha Hill

Samantha Hill

Directrice générale, Chef, Intégration du développement durable

Jason MacNeil

Jason MacNeill

Directeur général, Bureau du CSO

Limin Yang

Limin Yang

Directeur général, Risque de placement

Vanessa Ji

Vanessa Ji

Première directrice, Risque de placement

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Notre équipe était composée de : Richard Manley, chef du développement durable Samantha Hill, directrice générale, chef, Intégration du développement durable Jason MacNeill, directeur général, bureau du CSO Limin Yang, directeur général, Risque de placement Vanessa Ji, première directrice, Risque de placement Voici quelques-uns des points de vue qu’ils ont partagés. Une expérience qui fait réfléchir Nous savions que la transition de l’ensemble de l’économie vers l’objectif de zéro émission nette de gaz à effet de serre d’ici 2050 serait compliquée, mais le principal point à retenir est que les politiciens et les participants des marchés ne saisissent que maintenant l’ampleur et l’importance de ce qui est nécessaire pour l’atteindre, selon nos professionnels des placements. Après des années de dialogue sur la façon de s’attaquer à ce problème, il est devenu évident pour tous que ce ne sera pas facile, comme l’explique notre CSO. « La plupart des gens comprennent que nous ne pouvons pas diverger de notre voie vers zéro émission nette », a déclaré M. Manley. « Les leviers qu’ils croyaient avoir pour décarboniser ne sont pas là. Nous devons investir dans de nouvelles mines, de nouvelles fonderies, de nouvelles machines et de nouvelles usines, et nous devons former les gens qui construiront et installeront cette capacité. Nous devons mobiliser le système financier pour qu’il investisse dans la transition, mais il n’existe pas de solutions rapides aux goulots d’étranglement institutionnels auxquels nous faisons actuellement face. Lorsque les gens s’entendront à ce sujet, nous pourrons amorcer les conversations difficiles nécessaires pour tracer des voies viables vers l’avant. » Ce qui rend ce problème particulièrement difficile, c’est qu’il exige que tout le monde aille dans la même direction, souligne Mme Hill. « Il y a de la frustration et de la déception à voir que nous ne sommes pas plus avancés », a-t-elle déclaré. « Mais si ça ne semble pas difficile, vous n’allez probablement pas dans la bonne direction. Il n’y a pas de réponse facile, ici. » Des difficultés importantes Bien que la plupart des gens s’entendent pour dire que nous devons lutter contre les changements climatiques, il n’y a pas de consensus sur la façon de le faire. Compte tenu de l’ampleur des nouveaux investissements nécessaires, nos professionnels des placements affirment que le coût est l’un des principaux obstacles et que, comme certains de ces projets sont massifs, il y a de la résistance. Toutefois, nous avons besoin de nouvelles infrastructures pour améliorer les chaînes d’approvisionnement, ainsi que du soutien financier pour les soutenir, selon notre CSO. À l’heure actuelle, la capacité n’est pas suffisante pour répondre à la demande d’investissements dans les énergies renouvelables ou pour les relier au réseau électrique. « Nous nous retrouvons aujourd’hui avec un problème de chaîne d’approvisionnement pour lequel il n’y a pas de solution facile », a affirmé M. Manley. « Le coût de la compensation de ces efforts façonne clairement le soutien de la société à la transition. » Les facteurs ESG sont également devenus un enjeu partisan aux États-Unis. Plus de 25 États ont adopté ou envisagent d’adopter des lois pour influencer la façon dont certains gestionnaires d’actifs peuvent utiliser les facteurs ESG dans leurs décisions de placement, selon notre équipe Risque de placement. « La politisation des facteurs ESG peut rendre les choses vraiment difficiles », dit M. Yang. Établissement des normes Nous suivons cette voie vers zéro émission nette parce que nous sommes convaincus qu’elle est conforme à notre mandat de nous aider à maximiser les rendements. Nous croyons que la décarbonisation se traduira par des rendements des placements plus élevés pour les sociétés adaptables et résilientes. À Investissements RPC, nous croyons que les sociétés qui sont les mieux placées pour gérer les risques et les occasions liés aux changements climatiques seront les grandes gagnantes dans un monde à zéro émission nette. Nous sommes d’avis que ceux qui tirent de l’arrière sur le plan climatique peuvent devenir des chefs de file en matière de climat s’ils disposent des bons outils et des ressources appropriées, ce qui pourrait se traduire par d’importantes occasions pour les capitaux axés sur le long terme. Pour nous, tout commence par le bon plan et les bonnes normes. Nos professionnels des placements affirment qu’il existe trop de cadres différents pour la divulgation de l’information sur le climat, ce qui entraîne une fragmentation. Il est donc difficile – et potentiellement coûteux – pour les sociétés de divulguer l’information dont les investisseurs ont besoin pour chiffrer le prix du risque climatique. C’est pourquoi nous sommes convaincus de l’importance pour les sociétés d’adopter le nouveau cadre de divulgation de l’International Sustainability Standards Board (ISSB). « Les normes de l’ISSB sont cruciales pour nous », a fait remarquer M. Yang. « Les gens veulent un plan, mais ils veulent aussi de la clarté et de la stabilité. C’est pourquoi il est important de fournir des directives claires et des normes uniformes. Cela facilite grandement notre travail et celui des conseils d’administration. » Selon l’ISSB, le nouveau cadre contribuera à améliorer la confiance à l’égard des déclarations des sociétés sur la durabilité. Cela encouragera un plus grand nombre de sociétés à examiner et à gérer étroitement leurs propres activités qui pourraient avoir une incidence sur la création de valeur à long terme et leur donnera à toutes une base mondiale à suivre. « Nous demeurons d’avis que l’adoption de ces normes est fondamentale et qu’elle doit avoir lieu », a déclaré M. Manley, qui préside le groupe conseil des investisseurs de l’ISSB. « Nous constatons que les conseils d’administration et les directions estiment que la décarbonisation est avantageuse pour leurs clients et qu’ils recherchent ces occasions. Mais plusieurs ne disent toujours pas comment ils procéderont à la décarbonisation au-delà de ces victoires rapides. Nous faisons part de nos attentes aux sociétés et nous leur laissons le soin de trouver les meilleures façons de décarboniser leurs activités. » Un espoir à l’horizon La lutte contre les changements climatiques peut sembler insurmontable, mais la semaine du climat offre des raisons d’être optimiste. Nos professionnels des placements affirment que les gouvernements et les sociétés s’engagent réellement à trouver de vraies solutions parce qu’il s’agit d’une question d’une telle importance qu’elle nous touche tous. « La bonne nouvelle est que nous ne fuyons pas le problème », a déclaré Mme Hill. « Les gens ont investi dans ce domaine, ils comprennent maintenant à quel point c’est difficile et ils sont prêts à utiliser les outils dont ils disposent pour régler la situation. » La technologie et l’innovation sont en première ligne dans cette lutte. Le captage et le stockage du carbone, l’énergie renouvelable et les effets potentiels de la géo-ingénierie et de l’intelligence artificielle pourraient modifier considérablement les perspectives d’adaptation aux changements climatiques. Selon notre délégation, cela crée des occasions pour les investisseurs comme nous afin d’aider dans la transition. De plus, notre délégation a été encouragée par l’importance accrue accordée à la biodiversité en raison de son incidence sur la transition et les risques physiques associés aux changements climatiques. Cette approche offre une vue globale des changements climatiques, qui tient compte de l’incidence de la transition vers un monde sobre en carbone sur le marché, la réglementation, la technologie et la réputation, ainsi que de l’incidence des événements météorologiques extrêmes, de la hausse du niveau de la mer et de l’augmentation graduelle des températures moyennes. Dans le domaine de la biodiversité, il existe un dynamisme parmi les groupes qui cherchent à monnayer les moyens de protéger la planète. Les participants à un événement ont montré comment il est possible de protéger au moins 50 systèmes coralliens dans nos océans. « Nous ne pouvons pas tout protéger immédiatement, mais nous pouvons protéger beaucoup de choses », a déclaré M. MacNeill. « Nous devons nous satisfaire du "bien" – nous n’avons pas besoin de la perfection. Cela permettra aux gens d’essayer de nouvelles choses. » Heureusement, il y a des signes de progrès. L’adoption récente de la loi américaine sur la réduction de l’inflation (IRA) est un accord historique sur le climat qui prévoit des investissements de près de 400 milliards de dollars américains dans des projets d’énergie renouvelable pour réduire les émissions de carbone. Il s’agit du plus important investissement du genre et d’un exemple à suivre pour les autres pays, selon nos professionnels des placements. « L’IRA a une incidence réelle, mais nous devons en faire plus », a déclaré M. Yang. « Les pays doivent s’assurer que les entreprises peuvent prendre des mesures concrètes. Il ne s’agit pas de se départir de titres, mais de s’engager auprès des sociétés pour les aider à réduire leurs émissions. Les gens attendent toujours des directives pour s’attaquer aux problèmes climatiques, mais nous ne pouvons plus attendre. » Ouvrir la voie L’un des temps forts de la semaine du climat a été la présentation du document Principles for Net-Zero Financing & Investment (en anglais seulement) du département du Trésor des États-Unis, qui oriente les institutions financières sur la voie vers la carboneutralité. Selon notre CSO, il s’agit d’un feu vert donné par les États-Unis aux investissements verts, que nous recommandons. La secrétaire du Trésor américain, Janet Yellen, a également mentionné les occasions mondiales de placement estimées à 3 000 milliards de dollars américains, qui se présenteront chaque année d’ici 2050, qui ne feront que stimuler le développement d’innovations. « Nous avons des conversations plus enrichissantes. Tout le monde cherche à trouver de vraies solutions, pas des remèdes miracles », a souligné M. Manley. « Nous estimons que nous devons investir pour atteindre la carboneutralité, et non désinvestir pour tracer la voie. Certaines sociétés de l’économie réelle veulent se décarboniser rapidement. Pour ceux qui tirent de l’arrière, nous devons souligner l’urgence de prescrire une stratégie, mais nous pouvons guider les sociétés en articulant nos attentes et en les renforçant avec nos droits de gouvernance. » À Investissements RPC, nous avons toujours su que la transition économique serait difficile. Les changements climatiques représentent le plus grand défi de notre vie. Il n’y a pas de temps à perdre, surtout pour les investisseurs institutionnels comme nous. « Il s’agit d’un défi multilatéral et interdisciplinaire à relever, et nous manquons de temps pour le relever », déclare Mme Hill. « C’est un problème d’affaires tout autant qu’une occasion d’affaires. Nous sommes ici pour travailler d’arrache-pied et nous sommes très bien placés pour le faire. » Participants Richard Manley Chef du développement durable Samantha Hill Directrice générale, Chef, Intégration du développement durable Jason MacNeill Directeur général, Bureau du CSO Limin Yang Directeur général, Risque de placement Vanessa Ji Première directrice, Risque de placement Changements Climatiques En route vers la carboneutralité : La Harvard Business School souligne En février 2022, Investissements RPC s’est engagé à atteindre l’objectif de carboneutralité à l’échelle de ses activités et de L'Article • mai 16, 2024 Changements Climatiques La conversation : John Graham et David Blood Le président et chef de la direction d’Investissements RPC discute de la transition vers zéro émission nette avec M. 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